Le 31 janvier 2019, le rendu du jugement du 20 décembre 2018 au tribunal administratif est tombé. Il était intenté par la CNIL contre la décision du ministère de l’intérieur de procéder au retrait et au déréférencement administratifs (blocage par les fournisseurs d’accès à Internet et dans les moteurs de recherche) des sites Indymedia Nantes et Grenoble [1]
Les attentats de janvier et novembre 2015 ont été, sous le couvert de l’Etat d’Urgence, le début d’une longue série de lois et décrets instaurant de nouvelles mesures visant à augmenter la surveillance et la repression des populations. L’OLN (Observatoire des libertés et du numérique) vous (…)