Le 31 janvier 2019, le rendu du jugement du 20 décembre 2018 au tribunal administratif est tombé. Il était intenté par la CNIL contre la décision du ministère de l’intérieur de procéder au retrait et au déréférencement administratifs (blocage par les fournisseurs d’accès à Internet et dans les moteurs de recherche) des sites Indymedia Nantes et Grenoble [1]
Un article de la Quadrature du Net rédigé sur la base d’informations relatives à l’affaire dite du “8 décembre” dans laquelle 7 personnes ont été mises en examen pour « association de malfaiteurs terroristes » en décembre 2020.
Elle y décrit une volonté policière de criminalisation de pratiques et d’usage d’outils numériques (Signal, Tor, Tails, chiffrement de supports numériques, Protonmail, etc.) qui sont instrumentalisées comme éléments à charge révélateurs d’un comportement criminel.